Peut-être parce qu’il s’agit de notre nourriture de base, parce qu’en France l’objet est attaché à une partie de notre identité, peut-être parce qu’il est au cœur du rite chrétien de l’eucharistie, quoi qu’il en soit le pain est un aliment nourrissant autant sur le plan calorique que symbolique.
Il n’est alors pas si étonnant de pouvoir retrouver dans ce domaine un certain nombres d’individus sortant plutôt de l’ordinaire et dont le séculaire artisanat soit imprégné de philosophie. Je vous propose ici deux portraits différents mais tous les deux enrichissants.
Daniel le boulanger qui réinventa son métier pour se libérer.
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Le bon pain de Nicolas Supiot