Il y a huit ans de cela je commençais ce blog avec une forte inquiétude en tête, celle de la dégradation de notre planète et du risque proche d’effondrement de notre société avancée. J’avais alors symboliquement écris un de mes premiers articles sur l’île de pâques où, selon Jared Diamond, la déforestation avait condamné le peuple qui y habitait à la disparition.
Cette petite île perdue dans le Pacifique a souvent servi de métaphore à notre petite planète au milieu de l’univers. L’image proposée est comme une mise en garde malthusienne face à l’exploitation des ressources de notre planète.
Un documentaire d’Arte sur le travail de l’archéologue Nicolas Cauwe met en lumière une autre lecture de l’Histoire de l’île. (lien en cliquant sur la photo)
Depuis ce premier article j’ai radicalement changé de point de vue sur les sociétés humains et j’ai pris même beaucoup de distances avec les thèses souvent catastrophistes portés par les écologistes et relayé à grand cris dans les médias. Face à « l’évidence » des catastrophes à venir des uns l’Histoire répond par l’incroyable pouvoir d’adaptation des humains face à de nouvelles contraintes.